Gagner en bourse est simple : “il suffit d’acheter bas et vendre haut”. Au-delà de cet adage que La Palice n’aurait pas infirmé, la difficulté est en réalité que pour « acheter bas », il faut regarder au-delà du mouvement baissier du moment pour pouvoir adopter une vue différente de celle du consensus vendeur. Les fins de phases de baisse étant souvent rapides et violentes, un sens aigu du timing est également nécessaire. …Read More
Une hirondelle ne fait pas le printemps
Le marché nous y a habitués : après la tempête le calme. Les principaux indices sont désormais à l’équilibre pour la 8é fois de l’année malgré de fortes variations. Le risque d’un décrochage s’éloigne pour le moment. Pour la première fois depuis le début de l’agitation boursière fin janvier, la volatilité repasse sous les 15. Ce n’est pas une surprise. Le scénario d’une guerre commerciale mettant à genoux les marchés …Read More
GAME OVER ou EXTRA BALL ?
Quel changement de décor en quelques semaines ! “La Bourse de Paris au plus haut depuis dix ans” titrait les Echos le 29 janvier 2018. Désormais, les investisseurs s’interrogent sur la poursuite de la tendance haussière entamée en 2009. La raison du désamour semble bien établie. Les investisseurs craignent que la guerre commerciale déclenchée D. Trump mette un terme à la dynamique de croissance économique. Si les tensions commerciales s’amplifiaient, …Read More
Les ETF : un relais de performance pour l’Assurance-Vie
LE CHIEN ET SON MAITRE
Les marchés financiers et l’économie sont comme un chien et son maître en promenade. Le chien peut parfois s’éloigner et aller dans une direction opposée. L’exercice pour un investisseur consiste à savoir qui est en avance sur l’autre et s’ils vont dans la même direction. Lorsque l’on regarde le maître : La croissance reste dynamique dans toutes les régions du monde. Le risque inflationniste a fait un pas en arrière au …Read More
“Short vol” ou comment jeter le bébé avec l’eau du bain
Le 5 février 2018, les investisseurs ont découvert que l’inflation commençait à poindre. D’un point de vue historique et statistique, il n’y a rien d’étonnant qu’à ce stade du cycle économique des tensions inflationnistes se concrétisent. Le point de vue de l’investisseur est différent. Sa mémoire est impactée de manière exponentielle par les événements récents. La magie d’une croissance économique sans inflation a embrumé son regard jusqu’au 5 février. Le …Read More
LA VOLATILITÉ EST DE RETOUR ! ET ALORS ?
La volatilité est de retour sur les marchés financiers. Est-ce si surprenant ? Les marchés avaient fini par convaincre de nombreux investisseurs que la volatilité était morte. Le S&P500 avait passé 404 séances sans baisser de plus de 5%. C’était du jamais vu. La moyenne historique est de 92 jours. Les raisons de la baisse actuelles sont triples : La découverte que l’inflation n’a pas disparu et que les taux …Read More
LA GESTION ACTIVE EST MORTE ! VIVE LA GESTION ACTIVE !
Il y a des disparitions dont il faut se réjouir en tant qu’investisseur. Le succès croissant des ETF, ces fonds indiciels cotés et peu coûteux, transforme profondément le paysage de la gestion. Il s’agit véritablement d’une révolution dont nous ne mesurons pas encore toutes les conséquences. La gestion dite « active » promet de faire mieux qu’un indice de référence en utilisant diverses méthodes basées sur la macro-économie, une connaissance approfondie des …Read More
Le succès des ETF en 2 graphiques
Même si la gestion active peut se targuer d’avoir arrêter l’hémorragie, la gestion passive continue de collecter massivement. La collecte record de 2016 sera sans doute battue en 2017. On peut estimer que d’ici 2022, la gestion passive pèsera autant que la gestion active. D’ici là les professionnels français de l’épargne donneront-ils la possibilité aux français de découvrir les attraits des ETF ? On y travaille !
Y a-t-il une bulle sur les ETF ?
Rarement un produit financier aura autant comblé un besoin sans réponse des investisseurs au cours des 30 dernières années. Jusqu’alors ils avaient le choix entre les titres vifs et les OPCVM de gestion active. Les premiers peuvent être achetés à cours connu de manière peu coûteuse, mais il n’est pas simple d’assurer une réelle diversification, ne serait-ce que par la difficulté, voire l’impossibilité, d’accéder à certains marchés lointains ou réservés aux investisseurs institutionnels. Il faut également …Read More